Maureen Hemingway
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 26/07/2009
Feuille du Personnage {{ Love: Indécis. {{ Relations:
| Sujet: Voiture en panne. . Si quelqu'un veut bien m'aider [JAMES] Sam 15 Aoû - 4:23 | |
| Miami. L'une des plus grandes villes des états Unis. On l'y avait même dédiée une série télévisé. Une ville où tellement de boîte de nuit, de bar sont ouverts le soir, qu'on ne sait même pas ce qui a de plus nombreux. Les lieux, ou les habitants. Enfin bon. Le sexe, l'alcool, la drogue tous coulait à flot. Tous était à porter de main. Des miennes. Je n'avais jamais touché à la drogue, et je n'allais jamais le faire, ce qui est du reste, c'est encore à voir. Enfin bon. Je m'étais extirpais soigneusement d'une chambre qui m'étais totalement inconnu. L'endroit où personne n'aurait aimé y dormir, j'y avais dormi. Je n'étais pas dégoûtée, non. Car en plus d'avoir passée une nuit particulière, je m'étais assez amusé. Les cheveux ébouriffés, le maquillage à moitié faits, quelques cernes se dessinait sur mon fin visage, habituellement celui d'un ange. Oui, oui. Je n'avais presque aucun complexe physique, mais je ne me ventées pas du tout. Des relations physiques, j'en avais un peu plus souvent en ce moment. Disons que Miami a réussit à débloquer quelque chose en moi qu'il fallait à tous prix faire. Bien entendu, je restais soft. J'évitais d'être saoul à ce moment là, et c'était toujours moi qui fixait l'heure et avec qui. Personne n'arrivait à me contredire. Je faisais des hommes mes objets personnelle. Et puis, je savais que quand je devrais repartir à Derry, ce jeu la prendra fin. Mes intentions à Miami était autres qu'être celle que j'avais été. Ou plutôt que j'étais ailleurs sur terre. J'étais venue ici, pour une seule raison. Me venger ! Me venger de quoi me diriez vous ? Good Question je vous répondrez dans une rire machiavélique.
Aussitôt lever, Je décida de prendre une bonne douche rafraîchissante chez moi. D'ailleurs je ne mis pas très longtemps à y arriver. Ma chambre n'était pas loin par rapport aux lieux délabrés. Dans ma Volvo je parcouru l'ensemble de la ville en moins de vingt minutes. Et j'exauçais le vœu qui m'étais le plus chère à ce moment précis. Une douche ! Il devait être un peu plus de dix heures du matin. Et je ressentais une petite faim. La cafétéria servait parfois quelque trucs assez appétissant, mais aujourd'hui j'avais besoin d'un véritable déjeuner. C'est comme ça que je me retrouva en panne à proximité de la ville. Sur une route à l'intérieur même du bois de Miami. La voiture ce mis à fumer un peu, et puis s'arrêta complétement sur le côté de la route. J'étais assez étonnée de voir que ma récente volvo commençait déjà à battre de l'aile. J'étais donc si mauvaise conductrice que j'en avais l'air ?! Non. Je sortis et j'ouvrais le capot de cette voiture. Un grand nuage de poussière et de fumée s'évacua et je pris tous sur le visage. Je toussais vaguement, et m'écarta en refermant le couvercle de ma boite maudite ! Je n'avais plus qu'à attendre qu'une voiture arrive, ou marcher jusqu'à la prochaine sortit. Mon portable était restée à l'intérieur avec mes clés. La galère totale.
J'attendais donc, assise sur le capot avant, les jambes croiser. Et pour vêtement, une jupe à taille haute d'une noir profond en coton, une chemise blanche d'un blanc immaculée, et des talons hauts d'un cirée resplendissant. Et j'attendais comme si, j'attendais que la pluie arrive. Avec pour unique amusement, mes doigts et mes pensées. Parfois je descendais et je faisais les quatre cent pas, en attendant. Et je patientais. A mon plus grand désespoir.
M: Mais qu'est ce qui m'as pris de passer par les bois. J'aurais pu très bien passée par le petit chemin de l'autre côté. Mais non, madame voulait ce restaurant précis, et pas un autre. Celui à côté de Dude n'était pas mal. Mais qu'est ce qui se passe avec cette stupide voiture.
J'en étais presque à donnée des coups de talons dans mes pneus, mais j'allais évitée. D'une part, mes chaussures pourrait dégonfler un pneu, et de deux, en même temps ce serais mon pied qui en prendrait un coups. Des grands arbres parsemés de marron claire avec pour unique sommet, le bout du ciel que je ne voyais presque plus, se refermés presque sur moi. Et quelques bruits s'amusait à me faire tressaillir. Si j'avais peur, bien sûr. Ma paranoïa me faisait presque passée pour une film thriller du genre Hannibal Lecter, Ou le film dans les bois que j'avais vu la journée précédente. De quoi effrayait beaucoup de personne. | |
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